Prêts pour une course ? Découvrez ou retrouvez le plaisir des courses automobiles indoor avec Mon Automobile Club

 
 

 

Mini-z boiteAmis Zédeurs actifs ou retraités,

Comme vous le savez, l'association Mon Automobile Club possède une section Mini-z, consacrée ces dernières années à l'initiation-découverte de la Mini-z auprès des passionnés d'automobile.

NEWS

En ce début d'année 2022, nous avons acquis une piste Kyosho de format championnat avec comptage Robitronic. Nous travaillons à l'élaboration d'une manche comptant pour le Championnat Alsace Lorraine mais également à un mini-championnat interne Mon Automobile Club avec des règles simplifiées et adaptées aussi bien aux débutants qu'aux pilotes confirmés et avec pour maître mots plaisir, convivialité et bon temps passé ensemble.

La première session se déroulera au Cercle Saint Martin à Colmar (Google Maps) le samedi 2 avril de 15 à 19 heures. Les sessions suivantes auront lieu 1 ou 2 fois par mois*.

Vous pouvez aussi déjà prendre date pour le samedi 23 avril !

UNE MINI COURSE PAR MOIS POUR UN CHAMPIONNAT ANNUEL

A l'issue de chaque session de roulage, nous organiserons une manche avec qualifications et finales aussi bien pour les débutants que pour les confirmés.
Un classement sera maintenu sur le site de Mon Automobile Club et un podium annuel Mon Automobile Club sera organisé en fin de saison avec remise de prix.

MODALITES

Une participation modique sera demandée à chaque utilisateur de la piste, avec une boisson ou un café inclus.

VENEZ LES MAINS DANS LES POCHES

Si vous n'avez pas ou plus de matériel Mini-z, pas de problème. La location d'une Mini-Z MR02 ou MR03 en configuration standard vous sera proposée, soit pour la durée de deux packs d'accus, soit pour la session entière, incluant :

-Enregistrement de vos résultats dans le championnat Mon AC en catégorie "standard"
-Puce de comptage
-2 packs d'accus AAA et accès aux chargeurs rapides


RESERVATION

Il vous suffit de confirmer votre présence à l'une ou l'autre session Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Attention, pour des raisons d'organisation, nous vous demandons un engagement ferme de votre présence.

Nous comptons sur vous pour faire passer l'info à vos amis, zédeurs ou non, susceptibles d'êtres intéressés en relayant cette page.

Sportivement !

 

Rémy Rodriguez, Président de Mon Automobile Club

Alain Galluser, Responsable Mini-z

 

*Sur dalles Kyosho

Mini-z RCP 600

 

*ou sur moquette

Mini-z moquette 600

Des questions ? Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou 06 20 85 62 98

 

Logos 40 UNAC DATADOCK

 
 pied info membres
 

Dégradation de la qualité des routes : « 40 millions d’automobilistes » et Mon Automobile Club dénoncent l’immobilisme de l’état et les conséquences désastreuses sur la sécurité routière

logo 40ma 100

Dès 2015, l’association « 40 millions d’automobilistes » et Mon Automobile Club alertaient les pouvoirs publics sur la lente et inexorable dégradation du réseau routier français, avec pour principale conséquence l’augmentation du risque d’accident pour les usagers. En effet, le projet de loi relatif à la sécurité des infrastructures et systèmes de transport rappelle que 47 % des accidents comportent des facteurs se rapportant à l’infrastructure ; autrement dit, dans près d’un accident sur 2, la mauvaise qualité de la route ou de ses équipements sont en cause.

Un rapport publié le mois dernier par la Cour des Comptes révèle que malgré ce fait désormais bien connu des autorités comme du grand public, la situation est loin de s’améliorer en France. La qualité du réseau routier national et départemental continue à se dégrader d’année en année, en raison du manque de moyens humains, techniques, matériels et financiers mobilisés par l’État depuis la décentralisation opérée au début des années 2000.

Aujourd’hui, mercredi 16 mars 2022, l’association « 40 millions d’automobilistes » et Mon Automobile Club dénoncent l’immobilisme de l’État et se joint à la Cour des Comptes pour demander la mise en œuvre des réformes et des budgets nécessaires à la préservation et à la rénovation du patrimoine routier français, garant de la sécurité des usagers.

En 2012, la France figurait en tête du classement du Forum économique mondial pour la qualité de ses infrastructures routières. En 2015, elle était passée à la 7ème place ; en 2019, elle était reléguée au 18ème rang.

« Ce qu’il s’est passé entre 2012 et 2019 ? C’est très simple : rien ! Malgré les alertes répétées formulées par différentes institutions et organismes (dont la Cour des Comptes, dès 1992 !), l’État français a continué à négliger l’entretien de ses routes secondaires et fait comme si cela n’allait avoir aucune conséquence économique ou sociale. Mais on voit bien que toutes ces années d’immobilisme ont favorisé l’accélération de la détérioration des routes et rendu encore plus difficile leur maintenance et leur remise en état, parce que pour 1 € qui n’a pas été engagé au moment opportun, lorsqu’il était encore possible de réaliser des interventions mineures, ce sont jusqu’à 10 € qui doivent être investis aujourd’hui pour éviter que la même route tombe en ruines » rappelle Pierre CHASSERAY, délégué général de « 40 millions d’automobilistes ».

Outre les coûts financiers et économiques, la dégradation des infrastructures routièresa évidemment des conséquences dramatiques sur l’accès à la mobilité et la sécurité des usagers qui empruntent le réseau.

« Dans un rapport daté de juin dernier, la Cour des Comptes exposait que la politique de sécurité routière, pour être réellement efficace, devait reposer sur le triptyque ‘comportement-réglementation-infrastructure’. Les Sages de la rue Cambon ont démontré que si les 2 premiers items avaient fait l’objet d’un traitement plus que poussé de la part de la Sécurité routière, le troisième avait été dangereusement délaissé. Le nouveau rapport publié en mars ne fait qu’enfoncer le clou et rappeler l’importance – à tous points de vue – de travailler à la rénovation des routes les plus endommagées, de maintenir à un niveau acceptable l’état de l’infrastructure routière dans son ensemble et de réaliser les investissements nécessaires à l’amélioration des équipements et aménagements de sécurité, de façon à construite une route résiliente, une route qui pardonne les erreurs », conclut Rémy Rodriguez, Président de Mon Automobile Club.

80 km/h : entre idéologie militante et mensonges gouvernementaux, « 40 millions d’automobilistes » et Mon Automobile Club révèlent les dessous de la mesure d’abaissement généralisé de la vitesse.

logo 40ma 100

Le 1er juillet 2018, la vitesse maximale autorisée sur les routes secondaires françaises passait de 90 à 80 km/h. Une mesure hautement polémique, qui a mis le feu aux poudres des mois durant parmi les usagers de la route et qui continue près de 4 ans après à susciter le débat et la colère de la grande majorité des automobilistes.

Pour présenter et soutenir le bien-fondé de cette mesure, le gouvernement et les associations favorables à l’abaissement généralisé de la vitesse ont largement fait référence à des modèles mathématiques surannés tel le théorème élaboré dans les années 1960 par un chercheur suédoisdénommé Nilsson, qui voulait que, pour une baisse de la limitation de vitesse de 1 %, on obtiendrait une réduction systématique du nombre d’accidents de 4 %. Le meilleur exemple, selon les partisans de la mesure, en serait la Suède, qui aurait adopté avec succès les 80 km/h sur l’ensemble de son réseau routier depuis de très nombreuses années…

Aujourd’hui, vendredi 11 mars 2022, l’association « 40 millions d’automobilistes » révèle les mensonges éhontés formulés par les porteurs des 80 km/h en France et repris en boucle par les médias pour tenter de justifier la mise en œuvre de cette mesure aussi idéologique que néfaste. En effet, il n’existe en réalité aucune règlementation imposant une limitation de vitesse généralisée à 80 km/h en Suède et, pire, la politique suédoise se veut en fait beaucoup plus pragmatique, en misant prioritairement sur les investissements dans les infrastructures routières pour sécuriser et rendre plus efficients les déplacements.

Adapter les limitations de vitesse à l’infrastructure routière

Depuis 2014, l’Administration suédoise des Transports – l’autorité chargée en Suède de la construction, de l’exploitation et de l’entretien des routes – met en œuvre un « Plan national des transports », qui consiste notamment à ajuster chaque année la vitesse maximale autorisée sur les routes nationales en fonction de l’état de l’infrastructure routière. Pour faire simple : lorsqu’une route est jugée en mauvais état, la vitesse y est temporairement abaissée à 80 km/h au lieu de 90 ou de 100-110 à 90 km/h, en attendant que les travaux et aménagements nécessaires soient réalisés. À l’inverse, une fois ces travaux réalisés et lorsque l’infrastructure le permet, la vitesse est réhaussée. La plupart du temps, ces aménagements prennent la forme de la création d’une séparation centrale entre les deux sens de circulation, mais pas seulement ; des mesures visant la sécurisation des dépassements, prenant en compte les usagers vulnérables (en particulier les cyclistes) ou encorerenforçant les contrôles d’alcoolémie au volant sont également mis en œuvre.

C’est ainsi que chaque année depuis 2016 et jusqu’en 2025, une limitation de vitesse temporairement abaissée est appliquée sur environ 425 km de routes nationales et qu’une vitesse plus élevée est autorisée sur environ 120 km.

Une mesure polémique aussi en Suède, sur le point d’être annulée

On pourrait donc croire qu’avec une mesure bien davantage ancrée dans le pragmatisme que celle appliquée en France depuis 2018, celle-ci ne souffrirait d’aucune contestation…

Pourtant, suite à la publication par l’Administration suédoise des Transports en novembre 2020 de la liste des routes concernées par les modifications de limitations de vitesse, de nombreuses collectivités ont exprimé leur désaccord face à cette mesure, estimant que cela n’était pas justifié en matière de sécurité routière et que les temps de parcours augmentés nuisaient au développement économique des régions et à l’accessibilité des territoires pour les usagers s’y déplaçant. C’est le cas par exemple des municipalités de Gagnef, Mora et Älvdalen (Comté de Dalécarlie ou Dalarna), qui avaient alors fait appel de la décision auprès du gouvernement suédois.

Et il y a quelques semaines, le gouvernement suédois s’est exprimé en faveur de la région : il a estimé que la baisse de la limitation de vitesse n’était pas justifiée et que des mesures alternatives devaient préférentiellement être mises en œuvre pour sécuriser les déplacements. Le Gouvernement a donc annulé la décision de l’Administration. Ainsi, dans le Dalarna, les routes nationales 66 et 70 – concernées par la mesure – devraient prochainement voir la limitation de vitesse à 90 km/h rétablie.

Quels enseignements pour la France ?

Depuis de nombreuses années – et encore plus depuis la prise de position publique de l’ancien Premier ministre Édouard PHILIPPE en décembre 2017, qui a abouti à la mise en œuvre des 80 km/h généralisés l’année suivante, l’association « 40 millions d’automobilistes » n’a eu de cesse de démontrer qu’une telle mesure ne pouvait pas avoir les impacts escomptés sur la sécurité routière. Pour rappel, le gouvernement français promettait alors de sauver « entre 350 et 400 vies » par an.

« Mais on opposait toujours à nos arguments ce fameux ‘modèle suédois’ prétendument si strict et efficace… Nous avons aujourd’hui la preuve, non seulement que la politique de sécurité routière suédoise n’a rien à voir avec le tableau qu’on nous en dépeignait en France : il n’est pas basé sur l’édiction bête et méchante d’une faible limitation de vitesse, mais sur une vision pragmatique au cœur de laquelle se trouve la question d’une infrastructure sécurisante et de qualité. Mais de plus, la légitimité de la mesure d’abaissement – même ponctuelle et temporaire – de la vitesse maximale autorisée y est à ce point remise en cause que le gouvernement suédois lui-même est en train d’exiger d’y mettre un terme en faveur d’autres solutions, » résume Pierre CHASSERAY, délégué général de « 40 millions d’automobilistes ».

C’est bien la preuve, une nouvelle fois, que cette mesure inepte appliquée en France par pure idéologie ne trouve aucun fondement scientifique et encore moins empirique. Les Suédois – qui l’appliquaient eux-mêmes avec bon sens et parcimonie – en viennent à considérer que les avantages à la mettre en œuvre sont trop faibles en comparaison de ce qu’elle coûte économiquement à la société, et que d’autres mesures mieux orientées et plus ciblées seraient plus efficaces à la fois pour améliorer la sécurité des usagers et rendre plus efficients les déplacements routiers.

« Quand, en France, arrêterons-nous enfin de prendre en exemple de pseudo-bonnes idées, alors qu’en réalité nous n’en comprenons ni les tenants, ni les aboutissants ? Nous avons un train de retard, c’est indéniable. Et malheureusement, il ne semble y avoir aucune volonté politique réelle de redresser le tir. En tous cas, cela ne pourra pas être le cas tant que toutes les mesures que nous imaginons ne traitent que d’un seul et unique facteur : la vitesse. Les pays scandinaves l’ont compris bien avant nous ; la Cour des Comptes l’a répété dans son dernier rapport d’évaluation de la politique de sécurité routière. Une politique de sécurité routière, pour être réellement efficace, doit reposer sur 3 axes : la réglementation, l’usager et l’infrastructure. La réglementation est en place, l’usager la respecte dans la grande majorité des cas ; mais l’infrastructure pèche toujours », conclut Rémy Rodriguez, Président de Mon Automobile Club.

Mesure contre la flambée du prix des carburants : Les automobilistes attendent beaucoup mieux du candidat-président

logo 40ma 100

À l’occasion de son premier meeting de campagne qui s’est tenu hier à Poissy, Emmanuel MACRON est revenu sur la flambée des prix des carburants à la pompe, qui atteignent aujourd’hui 1,968 €/L de SP95-E10 et 1,976 €/L de gazole, soit respectivement +20,7 cts€ et +27,7 cts€ en seulement un mois. Du jamais vu. Et malheureusement, au regard du conflit qui oppose la Russie et l’Ukraine depuis maintenant 2 semaines, la situation est partie pour durer et même s’aggraver encore dans les prochaines semaines.

Face au désarroi des Français – qui subissent de plein fouet les conséquences économiques de cette guerre sur les prix de l’énergie – le candidat-président a annoncé la mise en œuvre prochaine de mesures censées soulager le portefeuille des automobilistes, dans le cadre d’un « plan de résilience ». Celles-ci devraient prendre la forme d’un « chèque inflation renforcé » (sur le modèle de celui octroyé en octobre 2021) et d’un nouveau relèvement des indemnités kilométriques (après celui acté en janvier dernier).Pour l’heure, l’éventualité d’une baisse de la fiscalité sur les carburants est écartée.

« 40 millions d’automobilistes » et Mon Automobile Club dénoncent des mesures complétement hors-sol, qui ne répondent absolument pas aux attentes ni aux besoins des 30 millions d’automobilistes qui utilisent chaque jour leur véhicule personnel pour se déplacer. Pour l’association, ni le « chèque inflation », ni le nouveau barème des indemnités kilométriques n’ont réellement aidé les Français alors que les prix des carburants étaient encore nettement sous la barre des 2 € le litre ; il n’y a donc aucune chance pour qu’elles leur permettent aujourd’hui d’affronter la nouvelle crise qui s’impose à eux.

2 euros le litre de carburant aujourd’hui… Et demain ?

Les prix des carburants routiers battent chaque semaine – pour ne pas dire chaque jour – de nouveaux records. Pourtant, tout laisse à penser que la situation empirera encore dans les semaines à venir.

Faire le plein à la pompe est devenu la hantise des automobilistes ; ils y laissent actuellement des sommes colossales. Malgré tout, cela demeure un passage obligé pour la plus grande majorité d’entre eux, parce qu’ils ne disposent pas d’autre moyen de transport efficace pour leurs déplacements du quotidien.

« L’achat de carburant est donc une dépense purement contrainte, et elle va peser de plus en plus lourd dans leur budget. Pour avoir une idée de ce qui nous attend dans les prochaines semaines, il faut savoir que l’augmentation d’1$ du prix du baril de pétrole sur les marchés mondiaux a pour conséquence la hausse du prix de carburant d’1 centime d’euro à la pompe un mois plus tard. Le 8 février dernier, le baril de pétrole coûtait environ 91$ ; cette semaine, il frôle les 130$. C’est une crise économique et sociale sans précédent qui nous attend si le Gouvernement n’intervient pas en prenant les mesures qui s’imposent », révèle Pierre CHASSERAY, délégué général de « 40 millions d’automobilistes ».

Une réforme de la fiscalité des carburants : seule issue possible pour les automobilistes.

« Les mesures actuellement sur la table font figure de pansements sur une jambe de bois, tant l’ampleur des augmentations tarifaires est importante. Un nouveau chèque de 100 € ? La belle affaire, cela paiera à peine un plein d’essence. Les indemnités kilométriques ? Le parent qui emmène sa fille à la crèche ou son fils au collège n’y a pas droit, il ne sait même pas ce que c’est ! Pourtant, il paye plein pot son carburant. C’est pourquoi, à « 40 millions d’automobilistes », nous continuons à dire haut et fort que seule une réforme radicale de la fiscalité sur les carburants serait de nature à faire baisser sensiblement et durablement le prix des carburants à la pompe », rappelle Rémy Rodriguez, Président de Mon Automobile Club.

« 40 millions d’automobilistes » a présenté sa proposition de réforme fiscale le 25 janvier dernier.

« Lors de son intervention d’hier, le Président de la République a prétendu qu’il ne « voulait pas faire de surprofit quand le prix des carburants augmente » ; qu’il le prouve donc en baissant la fiscalité, car au fur et à mesure que les prix en stations-services s’envolent, c’est bien l’État qui s’enrichit ! Et puisque le candidat MACRON ne veut pas débattre avec les autres prétendants à l’Élysée, qu’il vienne discuter avec les automobilistes, qui sauront lui faire connaître clairement leurs attentes », conclut Pierre CHASSERAY.

L’association « 40 Millions d’Automobilistes » rend hommage à Jean-Pierre Pernaut

logo 40ma 100

Les Français ont appris hier, mercredi 2 mars 2022, avec beaucoup de tristesse, la disparition de Jean-Pierre PERNAUT, illustre présentateur du Journal télévisé de 13h sur TF1 pendant 33 ans.

Toute l’équipe de l’association « 40 millions d’automobilistes » présente ses très sincères condoléances à la famille et aux proches de Jean-Pierre PERNAUT, et rend hommage à un journaliste profondément impliqué dans le quotidien des téléspectateurs et amoureux de la France des régions, qui aura su comme aucun autre écouter et donner la parole aux Français.

« Jean-Pierre était l’ami de notre association comme il était l’ami des Français. Il ne racontait pas la vie des automobilistes comme la vie des Français : il la vivait. Je reprendrai sa phrase maintes fois déclinée, elle devient aujourd’hui éternelle : ‘une mesure, pour être respectée, elle doit être respectable’ ». Merci Jean-Pierre et respect à jamais de tous ces automobilistes et de tous ces Français qui t’aiment ! », salue Daniel QUÉRO, dirigeant de l’association « 40 millions d’automobilistes ».